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3.78 AVERAGE


Video Review:

https://youtu.be/x6tnf3at9K0

I “read” books on Audible and got this book in 2017 as part of a BOGO event. It sounded like a good story but the other books i bought pushed it down the list of TBR. This year I made a point to go through and give each book I hadn’t touched yet 3 chapters. To see if I really liked them. I wish I had read this one sooner. I love this book and this series. Dyrk Ashton is an amazing author and I can’t wait to finish the series.

wow

When the action starts , it keeps going till the end . love it

Slow, wandering, pointless story.  Dark and crude.

Voilà un moment que j’avais ce Paternus : Rise of gods dans ma liseuse, et c’est la sortie du troisième roman de la trilogie de Dyrk Ashton (et ses critiques élogieuses) qui a fait resurgir l’envie de lire des dieux se bastonner la tronche.

Notre monde, notre époque. Fiona bosse à temps partiel dans un hôpital où elle s’occupe particulièrement du vieux Peter, un grabataire qui ne semble réagir qu’en sa présence. Mais un jour son service est attaqué par des gros bourrins inhumains qui tuent tout le monde. Leur cible est Peter, Fi et son ami Zeke, qui joue de la musique pour les patients, vont devoir réagir pour sauver leur peau. Ils vont mettre les pieds dans des embrouilles entre divinités qui se foutent sur la gueule depuis des millénaires. Leur univers, leur entourage et tout ce qu’ils croyaient connaître sur le monde vont très vite se retrouver en vrac.

Paternus démarre sur un principe qui rappellera évidemment American Gods à tous les lecteurs de Gaiman ou ceux qui ont vu la série : les dieux évoluent parmi nous et se livrent une guerre secrète, des protagonistes humains coincés au milieu, etc… Mais là où Neil Gaiman jouait l’ambiance et les mystères, Dyrk Ashton table sur l’action avec de grosses bastons et un rythme implacable. Et ça fonctionne vraiment bien, on a du suspense et de la grosse bagarre entre divinités, des affrontements dantesques qui durent parfois 50 ou 100 pages tout en présentant son univers petit à petit.

Le pitch à première vue simpliste de Paternus cache une mythologie solide qui regroupe à peu près toutes les mythologies et religions du monde de manière astucieuse. Les entités que le lecteur croisera sont des êtres légendaires tous issus du même père créateur, et elles ont traversé les âges en étant vénérées sous différents noms dans différentes civilisations. L’auteur arrive à synthétiser tout ça en tapant dans plein de mythes différents, tout en restant limpide.

Le casting est donc riche et plein de personnalité dans ce Panthéon cosmique, des dieux à tête d’animal aux créatures légendaires, on a de belles surprises dans tout ça. Que ce soit Tanuki (au rôle mineur mais très touchant) ou Cerbère, Galaad ou Merlin, Lucifer ou Shakti, les personnalités et relations de tout ce petit monde sont convaincantes. Puis quand Tanuki passe devant un miroir pour s’admirer l’entre-jambe, on se dit que les folklores sont bien respectées.

C’est rigolo parce que Paternus hérite aussi du principal défaut d’American Gods selon moi : ses protagonistes passifs qui ne servent qu’à être ébahis pendant tout le bouquin, et à se faire expliquer des trucs. Zeke et Fi découvrent un monde magique et violent mais ils sont pas au niveau, donc ils restent planqués dans un coin en essayant de comprendre tout ça. On a aussi droit à une amorce de romance bien frustrante, le genre « on s’aime mais on se parle jamais clairement, on enchaîne les quiproquos et chacun croit que l’autre n’est pas intéressé parce qu’on est trop bête pour parler franchement pendant quinze secondes ». C’est rigolo parce que j’ai une autre lecture en cours utilise ce procédé, donc on en reparle bientôt.

Mais malgré ce défaut j’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, et les suites promettent un rôle un peu plus actif à nos héros donc je suis curieux de découvrir tout ça. Il faut noter que la fin ne conclut pas grand chose de manière satisfaisante, on termine sur une situation instable qui nous pousse à nous jeter sur la suite directement. Heureusement que toute la trilogie est disponible !

Urban Fantasy mythologique et bourrine, Paternus : Rise of gods nous offre une aventure rythmée pleine de baston et de révélations, avec un casting de divinités cool et attachant que j’ai aimé découvrir et suivre malgré deux héros humains un peu passifs. Et on notera les couvertures sublimes, avec John Anthony Di Giovanni à l’illustration et Shawn King à la conception graphique, ça mérite un achat papier ça.

https://ours-inculte.fr/paternus-1/

Fun and fast-paced

I'll start by saying that the first quarter of the book is slow-moving. We're introduced to a lot of characters with little idea of what is happening. Once the action starts it doesn't let up until near the end.

Great tying together of various mythologies, including some that I found to be obscure. Make no mistake that they are done in a unique manner.

Now for the part I didn't like, which I'm putting below for spoilers...
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It's Billy. Really hates the idea of introducing the only GLBT character only to kill him off. It was unnecessary. Either there should have been more or he could have simply not been gay. As far as biblical texts go, it's at odds with what we know anyway, so it should have been avoided. I took off a star for it.
adventurous dark mysterious tense fast-paced
Plot or Character Driven: Plot
Strong character development: Yes
Loveable characters: Yes
Diverse cast of characters: Yes
Flaws of characters a main focus: Yes

DNF Got 65% of the way and just didn’t care anymore. Great concept just horrible execution in book format.
adventurous medium-paced
Plot or Character Driven: A mix
Strong character development: No
Loveable characters: No
Diverse cast of characters: Yes
Flaws of characters a main focus: No