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3.38 AVERAGE


I am conflicted about this book. I was really hoping to like it after reading a synopsis, but I feel perfectly whelmed after reading.

I feel like there were a lot of good lines throughout. I found myself highlighting certain passages I thought were well written. I believe that the author has a strong ability to write and create a story.

With that said, I believe the story was incredibly difficult to read; almost to the point of incoherence.

I had no idea what was going on. I feel like the story was built on chaos with a narrator that couldn’t be trusted [which is totally fine], but there was nothing that seemed to anchor any kind of reality—even fictional reality—to this story. The time hopping, or ghosts (?), made me go back frequently to make sure I had read things correctly and not missed anything. Too frequently, I found myself reading the page to get to the next one so I could try to find some sort of clarity. It never seemed to present itself.

Because of that, the book reads a bit like an incoherent ghost story or ramblings of a madman. Is that a bad thing? Not entirely. Does it make it difficult to understand and read? Yes.

I found myself putting this book down a lot. Partially because some of the scenes were terrible [read: terrifying and grotesque]. But more often than not, I felt like it was an ordeal to read. I often felt worn out and unexcited. I would actually put this book down to read another because it didn't seem to scratch any literary itch.

I don't need a soft, cushy bedtime story to put me to bed. I'm ok with being terrified. This story seemed to be out of proportions; relying heavily on the segments of incredibly well written prose and its graphic scenes. The quality writing seemed to be overshadowed with violent depictions to create unease and the continuous chaotic style of storytelling from the narrator.

I hate to label this book as "murder porn," but the scenes that stuck out were only the incredibly graphic ones. They were unsettling and delivered with a direct sort of ambivalence. Kudos to the author for creating reader unease. I think it's impressive to make a reader feel like their skin is crawling and emit visceral reactions to words.

This story read like a shock-jock thriller using buzzwords and violence to garner interest.





just an awful amalgamation of everyone in town being a pedo, murderer, rapist, or dead. didn’t care to understand what was happening. 

i hate when male authors write about gruesome topics, they have a way of making it the worst piece of literature i’ve ever read. 
challenging dark mysterious reflective tense medium-paced
Plot or Character Driven: A mix
Strong character development: Complicated
Loveable characters: No
Diverse cast of characters: Yes
Flaws of characters a main focus: Yes

La plume de Kevin Lambert est particulièrement crue et décapante; elle frappe par son aspect franc, acéré et sans filtre. Dans le cas de ce livre, cela prend la forme d’une série d’évènements, de pensées et de dialogues où la violence et la sexualité occupent une grande place, et qui, pris au second degré, témoignent d’une certaine critique envers le racisme, l’homophobie, la religion et le conservatisme général. Au final, il reste cette ambition de tout faire exploser; de tout détruire, pour que quelque chose de nouveau puisse être construit : il s’agirait là de la seule voie de salut de Chicoutimi, qui prend le rôle ici de porte-étendard des mentalités conservatrices régionales et de l’étroitesse d’esprit qui peut régner au sein de certaines collectivités. C’est une véritable attaque; une volonté de faire bouger ce qui apparait figé par trop de confort, d’indifférence et d’hypocrisie.

J’aime l’auteur et sa plume, mais j’ai eu de la difficulté à embarquer dans son récit, qui repousse sans cesse les limites entre le réel et le fictif. La colère, bien que justifiée, ainsi que la violence, fantasmée ou exprimée, prennent beaucoup (toute) la place, rendant parfois la lecture lourde et difficile. Cela n’enlève rien à la qualité de l’œuvre, mais je n’étais peut-être simplement pas dans le bon état d’esprit pour en entreprendre la lecture.

Mon doux seigneur comment expliquer ce livre qui m'a fait quasiment hyperventiler dans le fond d'un autobus des Basses-Laurentides, en route vers un rendez-vous médical, une journée de canicule, le soleil dans face & pas une once de bonne volonté dans le coeur.

Pratiquement impossible. Mais faut quand même essayer.

Tu aimeras ce que tu as tué, ode à la destruction annoncée de Chicoutimi, de la bien-pensance, des gens de caractère prévoyant, de la petitesse tellement grande qu'elle passe plus dans les cadres de porte, de l'ordinaire placide & du cadre hétéronormatif en général, est magnifique dans sa démesure. On y suit Faldistoire, au primaire puis au secondaire, alors qu'il recense les tragédies qui s'accumulent sur ses camarades de classe & raconte ses premiers amours. Grinçante & explosive, traversée de tendresses fugaces, sa voix est toujours irrévérencieuse, excessive, brodée de la plus belle mauvaise foi. Elle nous traîne dans des culs-de-sac résidentiels & aux abords de ronds-points enneigés, où la violence est endémique & où les enfants morts trop tôt reviennent vivre encore un peu, juste le temps de bien fomenter leur vengeance.

Ce que j'ai le plus aimé, je pense, c'est que le récit déborde rapidement de partout : tout de suite on a cette urgence de vouloir tout lire d'une shot, presque sans respirer, parce qu'une inspiration de travers gâcherait le rythme des mots & que ce serait crissement dommage. Le roman ne cherche jamais à être parfait, il n'en a pas besoin. Il pulse sous les doigts ; il est drôle d'un humour qui ne s'embarrasse pas des convenances ; il dégage une chaleur rageuse qui nous rappelle qu'il faut se méfier des gens qui, ayant grandi dans une petite-à-moyenne-ville, n'ont pas un jour eu envie de la faire sauter. Qu'est-ce qu'on pourrait demander de plus?

J'aime pas grand-monde, en vérité, sauf quelques écrivains, quelques filles et quelques homos qui écrivent des trucs délirants que je trouve à deux piasses dans les élagués de la bibliothèque, des folles et des enculés qui sont pas obsédés par des questions de fondation et qui s'appliquent à bien démolir de belles choses prisées tout à fait gratuitement à chacune de leurs phrases. (p. 179)

Dark af

August 2022. Horror novella set in French Canada. CW describing the awful reason I do not recommend this.

Do not recommend.
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It’s basically what if every single adult in an entire town was a serial rapist and pedophile, just vignette after vignette of “something spooky is going to happen… ooooo
dark emotional tense medium-paced
Plot or Character Driven: Character
Strong character development: Complicated
Loveable characters: No
Diverse cast of characters: No
Flaws of characters a main focus: Yes

Too much french

J'avais vraiment accroché sur le côté pervers, vulgaire et violent de Querelle.

On y est dans ce roman du début à la fin.

J'ai aimé chaque image du roman. J'ai trouvé ça triste et tellement drôle. Quel univers!

Sur la structure du roman, des petits chapitres de quelques pages, ça permet de jamais décrocher ou trouver ça long.